Mairie de Fiac - 81500
Environnement,
Paysage Fiacois :
Sommaire de la page
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Le frelon asiatique
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Les chauves-souris
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Les bandes enherbées
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Circulaire relative à la lutte contre l’influenza aviaire
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Le Tri Sélectif : Rappels et "mode d'emploi"
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Respecter la Nature : Un "savoir-être" au quotidien
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Le point sur Fiac
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Déchets verts : COMPOSTONS, BROYONS,
ou ...apportons les en déchetterie,
mais NE LES BRÛLONS PAS !
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Rappel : Réglementation NATURA 2000
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Pyrale du Buis : Dépister assez tôt et agir vite !
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Pollution sonore : Respecter son voisinage....
et contrôler les aboiements
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Gérer une mare, un pesquier.... et préserver les amphibiens
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Les pesticides : Où en sommes nous sur Fiac
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Mesure des ondes électromagnétiques
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Grippe aviaire : Mesures à suivre
Novembre 2017
Vous avez des oiseaux captifs ou sous votre responsabilité ?
Utilisez ce document pour votre déclaration :
02/05/2017
Le passage en risque "modéré" au regard de l'influenza aviaire sur l'ensemble de territoire national entraîne les mesures suivantes :
- les rassemblements d'oiseaux sont à nouveau autorisés hors zone à risque particulier ZRP (le Tarn n'en fait pas partie) et les oiseaux de ZRP autres que ceux réputés élevés en volière ne peuvent pas participer à un rassemblement.
(Toutefois, une interrogation réside sur la présence de palmipèdes dans ces rassemblements : nous sommes en attente d'une réponse de la DGAL)
- le confinement des basses cours n'est plus obligatoire
- la claustration des volailles d'élevage n'est plus obligatoire
- il faut toujours limiter au maximum les contacts avec la faune sauvage en abreuvant et en alimentant les volailles à l'intérieur des bâtiments (sinon il faut couvrir les mangeoires et les abreuvoirs)
- les éleveurs de volailles doivent respecter les mesures de biosécurités définies dans l'arrêté du 8 février 2016
- tous les détenteurs de volailles doivent déclarer toute mort suspecte
Circulaire relative à la lutte
contre l’influenza aviaire
A télécharger ici :
attention :
modification des tournées dès le 03 juin 2019
Il nous a été rapporté trop d’incivilités concernant ces points de collecte, et de fait, nous avons pu le vérifier au cours d’une visite « état des lieux ».
Nous vous avons rappelé, sur le premier Bulletin municipal, les consignes à ce sujet. Ces mêmes indications figurent ici, pour celles et ceux qui n’auraient pas gardé le n°1 des Feuilles du Fiacois.
Plus qu’un manque de connaissance, cependant, les comportements irrespectueux semblent expliquer ces « dépôts sauvages » que nous rencontrons.
Il en va du respect de la nature tout autant que des employés chargés de gérer ces points de collecte.
Si le problème devait perdurer, en dépit des encouragements à bien faire, il sera nécessaire de réprimander les contrevenants. Nous souhaitons éviter ce genre d’issue et faisons appel au civisme de chacun.
La photo ci-dessus est l’exemple même de ce qui est inadmissible.
Tri Sélectif
Eco-…Citoyenneté : Civilité, Civisme et Solidarité !
Depuis plusieurs années, le Tri Sélectif fait partie de votre quotidien.
Votre geste permet, en recyclant des matériaux fabriqués à partir de ressources naturelles, de préserver celles-ci et de limiter les gaz à effet de serre. De plus, en préférant le recyclage à l’extraction de nouvelles matières premières, vous permettez une économie d’énergie non négligeable.
Enfin, vos efforts soutiennent l’économie et l’emploi : De 1992 à 2007, 28000 emplois directs ont été créés par la collecte sélective, le tri, et le recyclage des emballages (Etude ERNST & YOUNG 2007)
Ces gestes « éco-citoyens » deviennent une habitude, et pour autant, mais aussi pour cette raison, des doutes peuvent exister sur la « bonne » marche à suivre, les consignes évoluant au fil du progrès des méthodes de traitement des déchets.
A retenir : 3 règles d’or, 2 astuces…
Le Bon Geste N°1 : Emballages en papier, carton, aluminium, briques alimentaires : BAC JAUNE
- emballages en acier et alu : canettes, boites de conserve, aérosol…
- emballages papier et carton : Boites de céréales, de gâteaux,…
- briques alimentaires : de lait, de soupe,..
- tous journaux et revues SANS leur emballage plastique
Le Bon Geste N°2 : PLASTIQUES : Uniquement les bouteilles et flacons dans le BAC JAUNE
- bouteilles d’eau, flacons de liquide vaisselle, gel douche ou shampoing, bouteilles d’huile…
- Laisser les bouchons : Plus propre et plus simple.
Le Bon Geste N°3 : RECUP-VERRE : Bouteilles, pots, bocaux
- …mais pas d’autres objets en verre ! (vaisselle, porcelaine, faïence, ne se recyclent pas)
Astuce 1 : Inutile de LAVER les emballages (économiser l’eau est important également !), il suffit de bien les vider.
Astuce 2 : Laisser les emballages en vrac, ne pas les imbriquer entre eux, leur gestion sera plus facile.
Nous vous rappelons que les « déchets verts » ne sont pas à jeter dans les poubelles, ni dans les containers jaunes. Un composteur reste la meilleure réponse et la CCLPA vous propose des solutions.
En cas de doute, ne pas hésiter à rechercher des conseils,
dans votre entourage (voisinage…), votre Mairie, ou la CCLPA.
Pour mémoire, la déchetterie de Guitalens-L’Albarède vous accueille route de Varagnes
les Mercredi, Vendredi et Samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h
Plus d’info au 05 63 70 99 30
Respecter
la Nature
Pensez également à la nature, et pour exemple, souvenez-vous qu’un mégot de cigarette jeté au sol met (selon le type et les conditions climatiques) entre 6 mois et… 10 ans à se décomposer, et peut polluer, il semble, jusqu’à 500 litres d’eau !
Un chewing-gum jeté dans la nature est également une source de pollution.
Saviez-vous qu’il mettait cinq ans à disparaître dans la nature ? Le rejet de chewing-gum est devenu une pollution majeure dans les rues de toutes les grandes villes du monde. Au Royaume-Uni le marché du chewing-gum est estimé à 400 millions d’euros par an et le nettoyage à la moitié de cette somme !
De quoi est composé le chewing gum ?
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Le colorant: une substance que l’on fait dissoudre dans un liquide ou dans une pâte pour leur donner de la couleur,
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La gélatine: une substance obtenue en faisant bouillir des matières animales (os) et végétales (algues),
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L’émulsifiant: un produit tension-actif qui stabilise une émulsion, ici une préparation à base de gélatine, en enrobant d’un film de gouttes en suspension,
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Le stabilisant: pour améliorer la stabilité chimique de la matière,
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L’agent gélifiant: une substance naturelle ou synthétique transformant/ épaississant les denrées alimentaires liquides en gels,
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La cire de Carnauba: un agent d’enrobage naturel. C’est une cire jaune prélevée sur la surface des feuilles de Copernicia Cerifera
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Le sorbitol: employé comme édulcorant et comme stimulant de l’excrétion biliaire,
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Le bicarbonate: un composé chimique qui contient un atome d’hydrogène acide (- HO3),
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La gomme de base: c’est le support du chewing gum, c’est à dire la gomme que l’on mâche.
En bref on y trouve: des gommes artificielles, du sirop de sucre industriel, des huiles essentielles ou parfums artificiels, des édulcorants comme le xylitol, des produits de synthèse comme l’asparatame, le cyclamate (dont les effets sur la santé sont controversés) ou la saccharine (également controversée et interdite dans des pays comme le Canada ou les Etats-Unis). Sans oublier les feuilles d’aluminium et des boîtes en papier ou carton qui constituent l’emballage du chewing gum… (Source http://www.consoglobe.com )
En outre, les oiseaux prennent souvent ces "boulettes blanches" pour un bout de pain, et meurent étouffés par cette ingestion fatale....
Pensez alors à ce qu’il advient lorsqu’un produit toxique
est déversé dans un fossé !
Il n’y a pas de petit geste sans grande conséquence sur la nature…
Nous comptons sur vous pour lutter contre ce genre d’agissement intolérable, et sommes à vos côtés pour cela aussi, afin de préserver notre cadre de vie.
Etre « éco-citoyen » c’est s’inscrire dans l’entité globale que représente l’environnement, mais aussi l’organisation sociale à laquelle nous appartenons.
C’est opter pour un développement durable, « qui répond aux besoins du présent sans compromettre ceux des générations futures, qui préserve la vie humaine et les écosystèmes, car l’un et l’autre sont intimement liés »*
(* Source : Wikipédia)
Etat des lieux
Au décours d'une visite au village, il s'avère que nombre d'endroits restent sous exploités. Pour diverses raisons, certains projets semblent en suspens et méritent d'être repris en main. D'autres projets, s'inscrivant dans une mise en valeur de notre patrimoine et de notre environnement, méritent une place dans la vie de notre commune.
Votre Commission Environnement travaille en ce moment à étudier la faisabilité de ces différents points, et à établir des priorités, directement dictées par les contraintes budgétaires. Vous serez tenus ici, au fil de vos rubriques, au courant des évolutions essentielles.
Les "coins à boutures" et les massifs "faciles"...
Plusieurs types de plantes, peu exigeantes, tant en matière d'arrosage que d'entretien, peuvent se révéler intéressantes pour ce genre de plate-bandes. Nous vous fournissons ici quelques pistes, mais serons ravis de partager avec vous d'autres idées, en vue d'enrichir ensemble tant nos listes que nos plantations !
Les Ficoïdes :
Le Poivre des Murailles (Sedum) :
En dehors des plantes propices au bouturage, d'autres, tout aussi peu exigeantes, peuvent s'avérer intéressantes pour habiller un endroit "difficile"...
Les Graminées :
Les "Pampas" :
Les Buddléias (Arbres à Papillons)
Et bien d'autres... !
Déchets verts :
Interdiction du brûlage à l'air libre
L'interdiction du brûlage à l'air libre des déchets verts s'applique aux particuliers (personnes physiques mais aussi collectivités).
Afin de préserver la qualité de l'air, il convient de composter, de broyer, ou d'emporter en déchetterie les déchets verts.
SEULS les agriculteurs sont autorisés à avoir recours à cette pratique pour éliminer les résidus végétaux issus de leurs exploitations.
Cependant, les agriculteurs doivent respecter, lorsqu'ils ont recours à cette pratique, l'arrêté préfectoral de février 1999 relatif à lutte contre les incendies.
Vous trouverez ci-après les textes en vigueur à ce sujet :
L'arrêté Préfectoral du 22/02/99 relatif à la prévention des incendies
La Circulaire ministérielle du 11/02/2014
Le règlement Sanitaire Départemental
Un communiqué de la Préfecture
Pour toute information complémentaire, merci de contacter le secrétariat de la mairie
Horaires et coordonnées
en rubrique CONTACT
Natura 2000 : Rappel sur les textes
Vous pouvez télécharger ce doument en PDF en cliquant ici :
La Pyrale du buis
(Cydalima perspectalis)
Véritable fléau, la Pyrale du buis (Cydalima perspectalis), initialement repérée en dehors de nos régions, est à ce jour un réel problème pour les jardins du Tarn.
Lavaur, Viterbe, sont déjà des zones concernées.....
Il semble donc indubitable que les buis de Fiac soit également victimes.
Il convient de repérer au plus vite les premiers signes de présence de la chenille, et de procéder à une destruction de celle-ci.
Pour réduire l'attaque des chenilles et dans l'attente d'effectuer un traitement avec le bacille de thuringe, vous pouvez lutter mécaniquement :
- Si vos buis sont de petites tailles et peu nombreux, il est possible d'envisager une lutte physique en coupant les parties de la plante infestées et en enlevant manuellement les œufs, les chenilles vertes et noires et les chrysalides de la pyrale du buis
- Si vous possédez des haies de buis ou des buis de grandes tailles, vous pouvez secouer ou frappez vos buis avec un bâton. Les chenilles étant sensibles aux vibrations, elles tomberont au sol. Pour faciliter le ramassage, disposer au préalable un filet ou un tissu au pied vos buis. Vous pourrez ensuite ébouillanter ou bruler les chenilles.
Si besoin, essayer les solutions biologiques.
Vous trouverez sur Internet une foule de conseils en la matière.
Comme souvent en jarginage,
la vigilance reste la plus efficace des solutions.
La pollution :
Pas que dans nos poumons !
...dans nos oreilles aussi !!!
Qu’il s’agisse, les beaux jours venus, des bruits de jardinage, ou en toute saison, des bruits de bricolage ou aboiements, le BRUIT est un des problèmes récurrents que les municipalités ont à traiter. Bien souvent, pourtant, il suffit de « se mettre à la place de son voisin » pour se rendre compte que les limites acceptables sont dépassées.
Des horaires existent pendant lesquels vous êtes autorisés à utiliser les outils bruyants.
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en jour ouvrable : de 8h30 à 12h00 et de 14h30 à 19h30 ;
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le samedi : de 9h00 à 12h00 et de 15h00 à 19h00 ;
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le dimanche : de 10h00 à midi.
Sachez également que selon le Code de la Santé Publique, il est stipulé dans le décret no 2006-1099 du 31 août 2006 relatif à la lutte contre les bruits de voisinage, à l’Art. R. 1334-31. qu’ « Aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l’homme, dans un lieu public ou privé, qu’une personne en soit elle-même à l’origine ou que ce soit par l’intermédiaire d’une personne, d’une chose dont elle a la garde ou d’un animal placé sous sa responsabilité.»
Les aboiements
«(…) ou que ce soit par l’intermédiaire (…) d’un animal placé sous sa responsabilité. »
Ainsi, être propriétaire d’un chien OU en avoir la garde implique que le voisinage soit respecté.
« Par sa durée, sa répétition ou son intensité », il est donc possible que les aboiements de votre chien soient considérés à raison comme un « trouble anormal de voisinage », tout comme les nuisances olfactives (que peuvent représenter un barbecue, du fumier, ou des ordures…) ou visuelles.
A retenir : L’aboiement de votre chien a un SENS, mais c’est à vous qu’il appartient de l’interpréter et de le rendre acceptable pour votre environnement.
Le fait de « vivre à la campagne » ne change rien au problème, pas plus qu’il n’est toléré de le laisser aboyer plus que de raison « parce qu’il ne fait pas nuit » !
Consulter la page consacrée aux propriétaires de chiens :
EN CONCLUSION
Nous avons la chance de vivre dans un secteur calme, et tout est fait pour que nous y soyons bien.
Eviter la pollution passe par l’attention portée à Autrui et à notre environnement commun.
Il n’est pas plus admissible de polluer cet environnement en y déversant des produits toxiques qu’en ne faisant pas en sorte que nous nous y sentions tous à l’aise. Ce qui vous est acceptable ne l’est peut-être pas pour votre voisin(e) : nous vous invitons donc à respecter votre voisinage afin qu’il le fasse à son tour, et à vous conformer par ailleurs à la législation en vigueur.
Nous préfèrerions éviter d’avoir à interférer dans des relations problématiques de proximité qui, le plus souvent, trouvent leur solution dans la simple considération d’Autrui.
Nous restons néanmoins à votre disposition s’il fallait passer par notre intermédiaire.
Si vous rencontrez un problème de nuisance sonore avec votre voisinage, que vous en soyez victime ou responsable par le biais de votre chien, nous vous proposons de vous accompagner. Merci de nous contacter par le biais de ce formulaire :
Arrêté Préfectoral portant réglementation des bruits de voisinage, du 25/07/2000
Vous trouverez ci joint le lien vers le livret réalisé par le CPIE (centre permanent d'initiatives pour l'environnement) dans le cadre de l'opération
d'inventaire des amphibiens (POP amphibiens).
Ce document a pour vocation d'accompagner les propriétaires de pesquiers, mares et zones humides, pour préserver ces milieux et les amphibiens qui s'y trouvent.
Carte publiée par Cash Investigation en Février 2016
Nous ne pouvons que vous remercier ou vous inciter à l'utilisation de solutions alternatives aux pesticides.
Votre mairie se tient à votre disposition pour vous orienter vers des pistes de réflexion pour prendre soin de notre environnement.
Mesure des ondes électromagnétiques
